Cesaria
Aye Sinor, quand même. Pourquoi ce sont toujours les bons qui partent. Quand je t'écoutais, Cesaria, j'avais la chair de poule. Toute l'émotion, l'humanité, la nostalgie qu'il y avait dans ta voix, dans ta manière d'être et de chanter, je la ressentais au plus profond de moi. Peut-être que nous avons une sensibilité commune. J'aurais voulu chanter en duo avec toi. Voilà ce que je te propose, quand on se retrouvera, on se le fera ce duo ; tu auras toujours les pieds nus, ta grande robe longue, moi ma guitare, mes cheveux longs et nos 2 voix pour donner du bonheur aux anges.
Il n'y a rien de triste, il y a le temps pour ça. En hommage à toi, Cesaria Evora, j'ai repris "Pic Nic Na Salamansa" pour en faire "Atikiti".