Ayer por la noche
Hier soir, j’étais entouré d’amis, de mon frère Paul, et j’ai vécu un GRAND MOMENT que je vous fais partager par l’intermédiaire de Catherine.
En cercle autour de la cheminée, dans une semi-pénombre éclairée par la danse et la lumière du feu, j’ai chanté les chants profonds de José REYES, mon père, pour mes amis. Je sais qu’il était là, car il est toujours en moi. Son âme ne me quitte jamais et sa voix sort de ma bouche.
A un moment donné, Toufik nous a fait découvrir un documentaire de François Recheinbach, tourné aux Saintes-Maries-de-la-mer en 1968, lors du pèlerinage des gitans et consacré à Manitas de Plata et José Reyes. Ce fut un moment de bonheur à l’état pur. J’ai revu une grande partie des miens. Au fur et à mesure, je les retrouvais tous, chantant, dansant, priant Sainte Sarah. Mon père, cet homme humble à la voix tellement extraordinaire offrant ses chants naturellement.
Et puis, autre moment de magie pure : sur le paquebot, lors du trajet de France aux Etats-Unis, la rencontre de Dali, José Reyes et Manitas de Plata. Dali, dans un comportement théâtral et magistral, peint une grande toile au son de la voix et des chants improvisés de José Reyes.
José nous dit précédemment que Dali lui a demandé de penser à un cheval alors il chante sur le thème d’un cheval de Camargue. Au son de cette voix envoûtante, la toile prend forme sous les coups sporadiques du Maître qu’est Dali qui s’assied, écoute, pour se relever avec une amplitude de gestes spectaculaire ; il s’approprie l’espace avant de tracer des cercles qui donnent naissance à un cheval. L’approche du dessin est une leçon, sa mise en scène à l’image de Dali, la voix de José magique et authentique, la musique de Manitas vibrante.
L’enregistrement s’arrête sur ce moment historique et de revoir mon père me bouleverse toujours. Dieu sait s’il n’y a pas un jour où je lui parle, mais il était là, en images. Comme il me manque. Alors pour prolonger ces moments, j’ai pris ma guitare et pour mes amis, j’ai chanté ses chansons près de la cheminée.
Les mots n’étaient plus utiles, et dans les yeux des amis présents, j’ai pu lire l’émotion qui passait en chacun de nous. Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai chanté, chanté. Merci papa. Merci José Reyes. Merci Catherine. Merci mes amis, d’ici, d’ailleurs, partout dans le monde. C’est pour vous tous que je chante.
Alors, à votre tour, fermez les yeux et écoutez la voix de José Reyes et revivez ces instants avec moi qui vous les offre du fond du cœur et vous souhaite à tous une bonne et heureuse nouvelle année.
Yesterday evening, I was surrounded by friends, my Paul brother, and I lived a GREAT MOMENT that I make you divide via Catherine. In circle around the chimney, in a semi-half-light lit by the dance and the light of fire, I sang the major songs of Jose REYES, my father, for my friends. I know that he was there, because he is always in me. His heart never leaves me and his voice leaves my mouth. At a given time, Toufik made us discover documentary of François Recheinbach, turned to the Saintes-Maries-de-la-Mer, in 1968, at the time of the pilgrimage of the gipsies and devoted to Manitas de Plata and Jose Reyes. It was one moment of happiness in a pure state. I re-examined most of my family. Progressively, I found them all, singing, dancing, requesting Sainte Sarah. My father, this humble man with the so extraordinary voice offering his songs naturally. And then, another moment of pure magic: on the steamer, during the trip : France to the United States, the meeting of Dali, Jose Reyes and Manitas de Plata . Dali, in a theatrical and masterly behavior, painted a large fabric with the sound of the voice and impromptu songs of Jose Reyes. Jose says to us previously that Dali asked him to think of a horse then it sings on the topic of a horse of the Camargue. With the sound of this voice envoûtante, the fabric takes form in the sporadic blows of the Master who is Dali who sitdown, listening, to be raised with a spectacular amplitude of gestures, to adapt space before tracing circles which give rise to a horse. The approach of the drawing is a lesson, its setting in scene with the image of Dali, the magic voice of Jose and authenticates, the vibrating music of Manitas. The recording stops at this historical time and to re-examine my father always upsets me. God knows if a day ago when I speak to him, but it was there, in images. Like I miss it. Then to prolong these moments, I took my guitar and for my friends, I sang his songs close to the chimney. The words were not useful any more, and in the eyes of the friends present, I could read the emotion which passed of each one of us. Then, I closed the eyes and I sang, sung. Thank you dad. Thank you Jose Reyes. Thank you Catherine. Thank you my friends, from here, moreover, everywhere in the world. It is for you all that I sing. Then, in your turn, close the eyes and listen to the voice of Jose Reyes and revive these moments with me which offers them to you bottom of the heart and wishes you with all good and happy news year.
Ayer por la noche, a los amigos, mi hermano Paul, viví un GRAN MOMENTO que hago que divides vía Catherine.
En círculo alrededor de la chimenea, en una semi-mitad-luz se encendió por la danza y la luz del fuego, canté las canciones principales de José REYES, mi padre, para mis amigos. Sé que estaba allí, porque está siempre en mí. Su corazón nunca sale de mí y su voz deja mi boca. En un momento dado, Toufik hizo que descubrimos el documentario de François Recheinbach, dado vuelta al Saintes-Maries-de-la-mer en 1968, a la hora del peregrinaje de los gitanos y el documentario dedicado a Manitas de Plata y a Jose Reyes. Era un momento de la felicidad en un estado puro. Reencuentro la mayor parte de los mios, familia. Progresivamente, los encontré todos, cantando, el bailar, solicitando Sainte Sarah. Mi padre, este hombre humilde con la voz tan extraordinaria que ofrece sus canciones naturalmente. Y entonces, otro momento de la magia pura: en el vapor, durante el viaje de Francia hasta los Estados Unidos el encuentro de Dali, Jose Reyes, Manitas. Dali, en un de teatro y principal un comportamiento, pintó una tela grande con el sonido de la voz y de las canciones improvisadas de Jose Reyes. Jose dice a nosotros previamente que Dali te preguntó que pensar de un caballo entonces que canta en el asunto de un caballo del Camargue. Con el sonido de este fascinante voz, la tela toma la forma en los soplos esporádicos del amo que es Dali que se sienta, escuchando, para ser levantado con una amplitud espectacular de gestos, para adaptar el espacio antes de remontar los círculos que dan lugar a un caballo. El acercamiento del dibujo es una lección, su ajuste en escena con la imagen de Dali, la voz mágica de Jose y authentica, la música que vibra de Manitas. La grabación para en este tiempo histórico y reexaminar a mi padre me trastorna siempre. El dios sabe si un día hace cuando te hablo, solamente él había, en imágenes. Como lo falto. Entonces para prolongar estos momentos, tomé mi guitarra y para mis amigos, canté sus canciones cerca de la chimenea. Las palabras no eran útiles más, y a los ojos de los amigos presentes, podría leer la emoción que pasó cada uno de nosotros. Entonces, cerré los ojos y canté, cantado. Gracias papá. Gracias Jose Reyes. Gracias Catherine. Gracias mis amigos, de aquí, por otra parte, por todas partes en el mundo. Está para ti todo a que cante. Entonces, en tu vuelta, el cierre los ojos y escucha la voz de Jose Reyes y restablece estos momentos con mí cuál os ofrece tú el fondo del corazón y te desea con todo el año bueno y feliz .
En cercle autour de la cheminée, dans une semi-pénombre éclairée par la danse et la lumière du feu, j’ai chanté les chants profonds de José REYES, mon père, pour mes amis. Je sais qu’il était là, car il est toujours en moi. Son âme ne me quitte jamais et sa voix sort de ma bouche.
A un moment donné, Toufik nous a fait découvrir un documentaire de François Recheinbach, tourné aux Saintes-Maries-de-la-mer en 1968, lors du pèlerinage des gitans et consacré à Manitas de Plata et José Reyes. Ce fut un moment de bonheur à l’état pur. J’ai revu une grande partie des miens. Au fur et à mesure, je les retrouvais tous, chantant, dansant, priant Sainte Sarah. Mon père, cet homme humble à la voix tellement extraordinaire offrant ses chants naturellement.
Et puis, autre moment de magie pure : sur le paquebot, lors du trajet de France aux Etats-Unis, la rencontre de Dali, José Reyes et Manitas de Plata. Dali, dans un comportement théâtral et magistral, peint une grande toile au son de la voix et des chants improvisés de José Reyes.
José nous dit précédemment que Dali lui a demandé de penser à un cheval alors il chante sur le thème d’un cheval de Camargue. Au son de cette voix envoûtante, la toile prend forme sous les coups sporadiques du Maître qu’est Dali qui s’assied, écoute, pour se relever avec une amplitude de gestes spectaculaire ; il s’approprie l’espace avant de tracer des cercles qui donnent naissance à un cheval. L’approche du dessin est une leçon, sa mise en scène à l’image de Dali, la voix de José magique et authentique, la musique de Manitas vibrante.
L’enregistrement s’arrête sur ce moment historique et de revoir mon père me bouleverse toujours. Dieu sait s’il n’y a pas un jour où je lui parle, mais il était là, en images. Comme il me manque. Alors pour prolonger ces moments, j’ai pris ma guitare et pour mes amis, j’ai chanté ses chansons près de la cheminée.
Les mots n’étaient plus utiles, et dans les yeux des amis présents, j’ai pu lire l’émotion qui passait en chacun de nous. Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai chanté, chanté. Merci papa. Merci José Reyes. Merci Catherine. Merci mes amis, d’ici, d’ailleurs, partout dans le monde. C’est pour vous tous que je chante.
Alors, à votre tour, fermez les yeux et écoutez la voix de José Reyes et revivez ces instants avec moi qui vous les offre du fond du cœur et vous souhaite à tous une bonne et heureuse nouvelle année.
Yesterday evening, I was surrounded by friends, my Paul brother, and I lived a GREAT MOMENT that I make you divide via Catherine. In circle around the chimney, in a semi-half-light lit by the dance and the light of fire, I sang the major songs of Jose REYES, my father, for my friends. I know that he was there, because he is always in me. His heart never leaves me and his voice leaves my mouth. At a given time, Toufik made us discover documentary of François Recheinbach, turned to the Saintes-Maries-de-la-Mer, in 1968, at the time of the pilgrimage of the gipsies and devoted to Manitas de Plata and Jose Reyes. It was one moment of happiness in a pure state. I re-examined most of my family. Progressively, I found them all, singing, dancing, requesting Sainte Sarah. My father, this humble man with the so extraordinary voice offering his songs naturally. And then, another moment of pure magic: on the steamer, during the trip : France to the United States, the meeting of Dali, Jose Reyes and Manitas de Plata . Dali, in a theatrical and masterly behavior, painted a large fabric with the sound of the voice and impromptu songs of Jose Reyes. Jose says to us previously that Dali asked him to think of a horse then it sings on the topic of a horse of the Camargue. With the sound of this voice envoûtante, the fabric takes form in the sporadic blows of the Master who is Dali who sitdown, listening, to be raised with a spectacular amplitude of gestures, to adapt space before tracing circles which give rise to a horse. The approach of the drawing is a lesson, its setting in scene with the image of Dali, the magic voice of Jose and authenticates, the vibrating music of Manitas. The recording stops at this historical time and to re-examine my father always upsets me. God knows if a day ago when I speak to him, but it was there, in images. Like I miss it. Then to prolong these moments, I took my guitar and for my friends, I sang his songs close to the chimney. The words were not useful any more, and in the eyes of the friends present, I could read the emotion which passed of each one of us. Then, I closed the eyes and I sang, sung. Thank you dad. Thank you Jose Reyes. Thank you Catherine. Thank you my friends, from here, moreover, everywhere in the world. It is for you all that I sing. Then, in your turn, close the eyes and listen to the voice of Jose Reyes and revive these moments with me which offers them to you bottom of the heart and wishes you with all good and happy news year.
Ayer por la noche, a los amigos, mi hermano Paul, viví un GRAN MOMENTO que hago que divides vía Catherine.
En círculo alrededor de la chimenea, en una semi-mitad-luz se encendió por la danza y la luz del fuego, canté las canciones principales de José REYES, mi padre, para mis amigos. Sé que estaba allí, porque está siempre en mí. Su corazón nunca sale de mí y su voz deja mi boca. En un momento dado, Toufik hizo que descubrimos el documentario de François Recheinbach, dado vuelta al Saintes-Maries-de-la-mer en 1968, a la hora del peregrinaje de los gitanos y el documentario dedicado a Manitas de Plata y a Jose Reyes. Era un momento de la felicidad en un estado puro. Reencuentro la mayor parte de los mios, familia. Progresivamente, los encontré todos, cantando, el bailar, solicitando Sainte Sarah. Mi padre, este hombre humilde con la voz tan extraordinaria que ofrece sus canciones naturalmente. Y entonces, otro momento de la magia pura: en el vapor, durante el viaje de Francia hasta los Estados Unidos el encuentro de Dali, Jose Reyes, Manitas. Dali, en un de teatro y principal un comportamiento, pintó una tela grande con el sonido de la voz y de las canciones improvisadas de Jose Reyes. Jose dice a nosotros previamente que Dali te preguntó que pensar de un caballo entonces que canta en el asunto de un caballo del Camargue. Con el sonido de este fascinante voz, la tela toma la forma en los soplos esporádicos del amo que es Dali que se sienta, escuchando, para ser levantado con una amplitud espectacular de gestos, para adaptar el espacio antes de remontar los círculos que dan lugar a un caballo. El acercamiento del dibujo es una lección, su ajuste en escena con la imagen de Dali, la voz mágica de Jose y authentica, la música que vibra de Manitas. La grabación para en este tiempo histórico y reexaminar a mi padre me trastorna siempre. El dios sabe si un día hace cuando te hablo, solamente él había, en imágenes. Como lo falto. Entonces para prolongar estos momentos, tomé mi guitarra y para mis amigos, canté sus canciones cerca de la chimenea. Las palabras no eran útiles más, y a los ojos de los amigos presentes, podría leer la emoción que pasó cada uno de nosotros. Entonces, cerré los ojos y canté, cantado. Gracias papá. Gracias Jose Reyes. Gracias Catherine. Gracias mis amigos, de aquí, por otra parte, por todas partes en el mundo. Está para ti todo a que cante. Entonces, en tu vuelta, el cierre los ojos y escucha la voz de Jose Reyes y restablece estos momentos con mí cuál os ofrece tú el fondo del corazón y te desea con todo el año bueno y feliz .
5 Comments:
Canut,
At the end and the close of a year it is good to look back at the past year.and the more distant past..and to remember those we loved and who have left this life..you are right Canut ..they are with us always.the fathers and mothers grand parents and sadly even children who go before us..your father was an exceptional man..who left the world a far better place than when he found it..he left a legacy of music for the world to enjoy and rejoice in..he lives on in his sons and his grandsons..who continue the wondeful thing which he started...You are blessed also to have a friend like Toufik...he is my friend also ..and I will meet him God willing in France..in Saintes Maries in May..May your new year be filled with bright blessings..long may the music live forever
Pesha x
Canut,
À la fin et à la fin d'une année il est bon de regarder en arrière la dernière année.et le passé plus éloigné.et pour se rappeler ceux que nous avons aimés et qui ont laissé cette vie.vous êtes Canut droit.ils sont avec nous toujours.les pères et les parents de mères et égalisent tristement les enfants qui vont avant nous….
votre père était un homme exceptionnel.qui a laissé au monde un endroit bien meilleur que quand il l'a trouvé.il a laissé un legs de la musique pour le monde pour apprécier et se réjouir le po.il vit dessus dans ses fils et ses fils.qui continuent la chose wondeful qu'il a commencée…Vous êtes béni également pour avoir un ami comme Toufik…il est mon ami également.et je le rencontrerai Dieu voulant en France.dans Saintes Maries en mai.Mai votre nouvelle année soit remplie de bénédictions lumineuses.long peut le music vivre pour toujours ! !
Pesha x
Mon Cher Canut, Lisant vos mots ont amené des déchirures à mes yeux. Je rappèle me voyant les photographies de tous ces gens à lesquels vous parlez. La voix de Jose d'audience est comme entendre la voix de Dieu. Oui, vous me rappelez très une bonne partie de votre père. Quand je vous ai rencontré cet été passé, la première personne que j'ai vu était Jose, pas Canut. Vous êtes le fils de votre père. Je suis heureux vous avoir rencontré et espère que ce nouvel an vous amène la grande joie. J'ai perdu aussi mon père et chaque passes de jour et je souhaite qu'il était ici. Je comprends votre vide. Continuer à créer parce que cela est le cadeau il vous est parti. Vous le faites fier. LL
Un rememberence si merveilleux Canut, comme Pesha dit lui est un temps pour se rappeler l'année et les dernières années après. Je me rappelle aussi mon papa cette fois d'année comme il est mort il y a 7 ans peu de temps après la nouvelle année. L'envoi vous de tout le soleil a rempli souhaits pendant une nouvelle année à partir de Tucson en Amérique.
Karen
Bonné année à tous
J'ai trouvé un video de Gipsy Kings ou Canut et Nicholas chantent le Fandago (MON FAVORITE)...c'est un vieux video mais TRES BON:)
Le lien
http://www.youtube.com/watch?v=U7tm-vTnR6s&mode=user&search=
Happy New Year to all
I found an old video of the Gipsy Kings where Canut & Nicholas sing the Fandango (MY ALL TIME FAVOURITE), its an EXCELLENT VIDEO
Check it out at
http://www.youtube.com/watch?v=U7tm-vTnR6s&mode=user&search=
A month already past by, since this blog, but I wanted to share this, because for me, it is realy importante!
In my yought, I was already a fan of Manitas de Plata, and I saw him those days in Holland, during his concert. Than one day, I saw the television program of Willem Duis, the man with his own program, famous, because he had always fishes on his table. I saw the introduction of Los Reyes, Jose, and his children, and family. I was so excited, about this, that I bought directly the L.P. just like my mother also did, and Lailo Lai, became a hit here in Holland, but all songs were just great. During the years, I had followed the start of the Gipsy Kings, and I am and was a realy great fan, saw and visit, almost all the concerts, but most I was impressed by your voice, I remember the first concert in Ahoi, in Rotterdam, For me, it was a real fiesta. I bought all the cd's, DVD's, but one song helped me so much during my hard years, I lost 3 times my baby, and the last pregnancy of Philip my son, his father left me, before the birth, those days were so dark for me, but just one thing helped me to crie, to go on, to move on and became stronger, I played the song so many many times, "Amor Gitano", I gould not understand all the words, but I knew only one thing, Amor, Love, words doesn't have to explane, the music, the voice, the emotion, it tells me all!!! And now, after all those years, I am still single, lol, but the song means still a lot, the outside is strong, enough of the love of my kids, my huskies, my life, inside, also strong, but with a little hope, that maybe one day, I can feel the emotions,, for that someone, who maybe cross my way. Dear Canut, maybe you don't have any idea, but thank you so very much, without knowing, you helped me so much, to overcome, and a rise, Querido, muchas gracias, gracias para siempre!! Elly
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